A Bastia, Emile vante les capacités de son chien :
"Tous les matins, il m'achète Corse Matin et me ramène la monnaie.
Il tient le magasin quand je vais boire le thé et je lui apprends les échecs !
-Il est formidable, dit Bastien. Je t'en offre 500 euros !
-Tu es fou ! Je ne le céderais pas à moins de 5000 euros !
-Je t'en propose 2000 ...
-Allez, disons 3000 euros et on n'en parle plus".
Deux semaines plus tard, Emile croise Bastien :
"Dis moi, ton chien est une arnaque ! Il n'est bon qu'à manger, dormir et pisser. Qu'est ce que tu dis ça ?
-J'en dis que si tu parles de ton chien comme ça jamais tu n'arriveras à le revendre !"